Ces recommandations sont sélectionnées sur la base de notre expérience ou des avis vérifiés d'autres voyageurs. Vous pouvez vous y fier!
Au nord de l'église, trois rangées d'arbres forment une petite forêt. Ne cherchez pas de sentier pour redescendre la colline ou de banc pour vous asseoir et rêvasser, seuls l'ombre et le calme vous attendent.
Excellent café-restaurant au village de Noës, aux portes de Sierre. Spécialités de fondues et de tartares, pavé de bœuf sur ardoise, croûtes au fromage, assiettes valaisannes. Beau choix d'excellents vins valaisans. Sympathique ambiance villageoise, grande terrasse, places de parc. Fermé les dimanches et mercredis.
La construction de cette jolie chapelle remonte à 1650 mais elle se délabra si rapidement qu'elle fut rénovée à trois reprises au XVIIIe siècle, avec même une interdiction au public en 1764. De nouveaux travaux ont été effectués au XXe siècle, dont l’adjonction d'une sacristie et le remplacement de la cloche.
Cette petite route monte à Corin, le village vigneron qui surplombe Noës, sur la route reliant Sierre à Crans-Montana. Notre balade virtuelle de Noës finit ici, à la chapelle Sainte-Barbe de Champzabé, où nous allons bien sûr entrer.
Ce n'est qu'en 1927 que les habitants du hameau ont décidé de construire une église, qu'ils ont dédiée à une sainte catholique, Thérèse de Lisieux. A l'époque, Noës se développait et était habitée par une population devenue sédentaire, ce qui explique la taille surprenante de ce lieu de culte.
En longeant l'esplanade à droite de l'église, vous passerez à côté du petit cimetière et vous arriverez au sommet des vignes qui s'étendent tout autour de la colline. Il n'y a pas de sentier où vous balader, mais il y a une belle vue.
Avec le quartier de villas qui s'est construit au cœur des vignes, l'impasse a cessé d'en être une et elle relie désormais la rue Michel à la rue de Girouda, offrant ici une très belle vue sur la colline et le clocher de l'église.
Cette petite place ne porte pas de nom mais nous l'avons rebaptisée «place de la Poste» parce que s'y dresse l'ancienne poste de Noës, qui fut aussi une école et qui est devenue un immeuble d'habitation. On y voit aussi le bâtiment où se trouvaient autrefois les pompiers de Noës avec, à sa droite, la rue de Ehala qui part en direction des grands centres commerciaux de Sierre. La place borde la route de Sion mais n'y donne aucun accès. En passant sous le pont, on rejoint la rue du Vieux-Noës qui traverse le noyau ancien du hameau.
Nous sommes ici à l'entrée de Champzabé, un hameau qui partage son code postal avec Noës mais qui fait partie de la commune de Crans-Montana, alors que Noës fait partie de celle de Sierre. Un hameau qui n'est constitué que de quelques maisons et villas éparpillées dans les vignes.
Notre balade virtuelle a été réalisée en plusieurs fois au fil des mois, depuis mai 2023. En faisant toute la balade, à Noës, au bord du Rhône, à Champzabé et à Corin, vous voyez des vignes au printemps, ou juste avant les vendanges, ou encore, comme ici, dans les couleurs flamboyantes de l'automne, dans la première quinzaine de novembre.
Nous arrivons ici vers ce qui ressemble au cœur du hameau, vers la chapelle de Sainte-Barbe. Jusqu'à la fusion en 2017 des communes qui ont formé la grande commune de Crans-Montana, c'était la frontière entre les communes de Chermignon, Montana et Sierre. A gauche de la chapelle, vous voyez la salle intercommunale, qui arbore toujours les armoiries des trois communes.
La rue de Ehala commence près du grand rond-point vers lequel se groupent tous les centres commerciaux de Sierre et court vers l'ouest parallèlement à la route de Sion au pied des collines couvertes de vignes de Noës.
Malgré la proximité de la grand-route, c'est une jolie balade à faire pour admirer les vignes, lorsqu'elles sont chargées de grappes juste avant les vendanges ou, peu de temps après, lorsque l'automne les pare de couleurs flamboyantes.
Nous sommes ici près de l'endroit où débouche la rue de Girouda. Devant nous, la rue de Ehala longe les vignes jusqu'à la place qui se trouve en contrebas de l'église. Derrière nous, elle passe au pied de la colline du même nom et aboutit vers le rond-point qui marque le début des grandes zones commerciales de Sierre.
Courant au pied des vignes, la rue de Ehala est interdite à la circulation, sauf pour ses riverains. Même si elle longe en partie la route cantonale qui relie Sierre à Sion, elle n'y donne pas accès. Les vignes couvrent tout le flanc de la colline, ne laissant dépasser que le sommet du clocher de l'église.
Le nom «Ehala», avec sa sonorité inhabituelle, signifie tout simplement «vigne» à Sierre, selon les recherches de Henry Suter (1942-2014), l'auteur du «Dico romand». Il vient du gallo-roman escala, qui signifiait échelle, escalier ou passage escarpé, un terme qui évoque bien le vignoble valaisan.
A son extrémité ouest, juste avant d'arriver à la place où se dresse l'ancienne poste de Noës, la rue de Ehala descend au-dessous du niveau de la route cantonale pour donner accès au passage souterrain (derrière nous) qui permet de traverser la route.
Nous arrivons ici en contrebas de l'église, sur la place sans nom que nous avons surnommée «Place de la Poste». Elle est juste à côté du viaduc où passe la route de Noës à Chalais et, en passant sous ce pont, on rejoint la rue du Vieux-Noës, qui traverse le cœur historique de l'ancien hameau.
Nos prises de vues à Noës ont été faites en plusieurs séries au fil des mois, de mai à septembre 2023. Les panoramas capturés au pied de la colline où se dresse l'église montrent les vignes chargées de grappes quelques jours avant les vendanges.
Les vins suisses restent un peu secrets car ils sont peu exportés malgré leur qualité. Comme le climat valaisan permet de produire de très grands vins et comme la région de Sierre est la plus ensoleillée de Suisse, certains disent que les meilleurs crus viennent d'ici...
Après le carrefour de la rue de Pont-Chalais, la rue de Plantassage devient rue de la Fraternité. En traversant la rue, notre balade virtuelle part en direction des deux petites collines où se dressent l'église et le noyau historique de Noës. En continuant le long de la rue, elle vous emmène faire un tour vers le hameau de Champzabé.
Bordée de villas et de vignes, la rue de la Fraternité va rejoindre la route de Sion quelques centaines de mètres plus loin, derrière nous puisque le panorama est orienté ici vers le centre de Noës.
Notre balade virtuelle va maintenant grimper en direction du minuscule hameau de Champzabé et de sa chapelle Sainte-Barbe, à la frontière entre les communes de Sierre et de Crans-Montana.
La rue de Plantassage longe le nord de Noës, au pied des vignes. C'est sur cette rue que se trouvent les deux bons restaurants du village. Derrière nous descend la rue Michel, qui part vers le noyau historique de cet ancien hameau devenu une banlieue tranquille de Sierre.
Cette balade virtuelle à Noës s'est développée petit à petit du printemps à l'automne 2023 et elle est partie d'ici, devant l'immeuble où nous avons établi notre nouveau QG. En partant vers le sud-ouest, vous passerez vers les deux restaurants, que nous vous recommandons.
On aperçoit ici, côte à côte, les deux excellents cafés-restaurants qui constituent le cœur de la vie sociale de Noës. A l'angle de l'immeuble sur la gauche, le Postillon a une petite terrasse qui donne sur la rue. Un peu plus loin, le bâtiment avec une tourelle abrite le Café des Voyageurs, dont la terrasse se trouve à l'arrière. La rue de Plantassage étant peu passante avec sa vitesse limitée à 40 km/h, les deux terrasses sont tranquilles et agréables.
La rue de Plantassage est le siège d'une association unique au monde: la Société Sportive des Bars Parallèles de Noës, qui s'exerce au Café du Postillon (sur notre gauche) et au Café des Voyageurs (sur notre droite). Devant nous, un passage sans nom permet de rejoindre la rue Michel, parallèle à la rue de Plantassage.
Juste après le Café des Voyageurs, la route qui part à gauche est la rue de Pont-Chalais. Comme son nom l'indique, elle descend vers un pont sur le Rhône et mène au village de Chalais, sur la rive gauche. Chalais est le point de départ du téléphérique qui monte à Vercorin, village montagnard célèbre pour son cachet traditionnel, avec des maisons et de vieux raccards serrés autour d'une église ancienne.
Nous sommes ici tout en haut de la rue de Pont-Chalais, à l'endroit où elle rejoint la rue principale de la partie «moderne» de Noës (rue de la Fraternité - rue de Plantassage). Au-dessus des pentes couvertes de vignes, on aperçoit au loin quelques maisons du village de Corin.
Derrière nous débouche la rue de Pranou alors que, entre les deux maisons qui nous font face, la rue Michel part vers le nord-est, parallèlement à la rue de Plantassage, qui se trouve sur notre gauche. Partez à droite pour aller visiter le vieux village.
Traversez la rue et prenez le chemin en pente douce que vous voyez à gauche pour monter à l'esplanade de l'église. La rue du Vieux-Noës qui part à droite mène au noyau historique du village. En continuant tout droit, vous arrivez au pont et vous sortez de Noës.
La rue de Pont-Chalais part de l'endroit où la rue de Plantassage devient rue de la Fraternité, passe en contrebas de la colline de l'église, traverse un pont sur le Rhône et devient route de Noës, arrivant à Chalais à proximité de la station aval du téléphérique de Vercorin. Nous sommes ici à l'entrée de Noës et on aperçoit un peu plus loin, sur la droite du trottoir, le sentier qui monte à l'église.
La rue de Pont-Chalais enjambe le bas du vieux Noës, la route cantonale, le chemin de fer et le Rhône, puis continue en direction du village de Chalais. Notre balade virtuelle se prolonge sur l'autre rive du Rhône, n'hésitez pas à continuer!
La rue des Nomades grimpe jusqu'au sommet de la colline, où se blottissent quelques belles maisons anciennes. C'est le cœur historique de Noës, qui a su conserver son cachet au milieu de ce hameau devenu une banlieue résidentielle de Sierre. Le contraste avec la rue de Plantassage et la zone commerciale de Rossfeld est saisissant!
Avant de finir en cul-de-sac, la rue des Nomades se resserre et devient une ruelle étroite où l'on ne fait plus vraiment la différence entre espace public et propriété privée. Notre balade virtuelle au cœur du vieux Noës finit ici, nous espérons qu'elle vous a donné envie de découvrir ces lieux un peu secrets!
De quel goupillon s'agit-il? De l'écouvillon servant à nettoyer les bouteilles, du fléau d'armes du Moyen Age ou de l'objet liturgique servant à asperger d'eau bénite les fidèles catholiques? Nous avons une préférence pour la référence viticole mais nous laissons planer le mystère!
La rue du Vieux-Noës s'élargit ici pour former une petite place agrémentée d'une fontaine. La rue du Goupillon qui part d'ici ne mène nulle part, c'est une impasse qui finit un peu plus haut en offrant un beau panorama sur l'ouest.
La ruelle sans issue qui monte d'ici est la rue des Nomades, probablement nommée ainsi en souvenir des temps anciens où Noës n'était pas habité en permanence. Jusqu'au début du XXe siècle, le hameau a été un pied-à-terre pour les habitants du val d'Anniviers qui cultivaient des vignes sur les coteaux du Rhône et qui menaient donc une vie nomade entre montagnes et plaine.
Lorsque Noës était encore une résidence d’été des habitants du val d’Anniviers, seule une fragile passerelle permettait de traverser le Rhône. C'est à l’arrivée du chemin de fer en 1868 qu’un pont de bois fut construit pour relier les deux rives. La gare de Noës, qui se trouvait au bas de cette rue, n'existe plus depuis longtemps et le long viaduc de béton actuel a remplacé un pont métallique construit en 1900 et emporté par une crue du Rhône en 1948.
Tout en bas de la rue du Vieux-Noës, passez sous le pont et vous arriverez sur une petite place qui sert de parking et où se trouvait autrefois la poste du village. De là, vous pouvez prendre un sentier qui monte vers la rue de Pont-Chalais et l'église, ou suivre la rue de Ehala qui part en direction des centres commerciaux de Rossfeld, aux portes de Sierre.
Partant de la rue de Pont-Chalais, la rue Michel court parallèlement à la rue de Plantassage, qu'elle rejoint à l'est. Quelques mètres plus loin, une ruelle monte à l'église et, encore plus loin, la rue de Girouda part vers les vignes du pied de la colline.
Nous sommes ici dans la partie ancienne de la rue Michel, au bas de la ruelle qui grimpe à l'église. Derrière nous, la rue débouche sur la rue de Pont-Chalais, d'où un sentier monte également à l'église.
Cette ruelle sans nom permet de rejoindre la rue de Plantassage. Elle débouche entre les deux sympathiques cafés-restaurants de Noës, à proximité des arrêts de bus.
Nous sommes ici face à la colline où se dresse l'église Sainte-Thérèse de Lisieux. Le chemin qui descend en direction des vignes est la rue de Girouda, rejoignant plus bas la rue de Ehala qui court au pied de la colline.
Plus loin, la rue Michel remonte et rejoint la rue de Plantassage. Sur notre droite, l'impasse des Rocailles n'est pas vraiment un chemin sans issue puisqu'il rejoint plus bas la rue de Girouda.
C'est ici que la rue Michel remonte et débouche sur la rue de Plantassage, après l'avoir longée parallèlement depuis la rue de Pont-Chalais, au cœur du noyau historique de l'ancien hameau.
Jusqu'au début du XXe siècle, le hameau de Noës n'était occupé qu'au printemps et en automne, par les habitants de Mayoux, Saint-Jean et Pinsec, des villages du val d'Anniviers. Les villageois descendaient en plaine pour s'occuper de leurs vignes et comme il n'y avait pas d'église, ils assistaient aux offices religieux à Chalais et à Granges. C'est en 1927 seulement que fut décidée la construction de cette église, plusieurs familles anniviardes s'étant sédentarisées à Noës pour travailler à l’usine d’aluminium de Chippis ouverte en 1908.
L'église surprend par sa taille, dominant un si petit hameau. A l'origine, ses initiateurs prévoyaient d'en faire un lieu de pèlerinage et même d'y installer un couvent. De style roman, elle compte trois autels et ses vitraux ont été créés par le paysagiste et portraitiste valaisan Joseph André Mussler (1904-1980). La fresque du chœur, de 1950, est l'œuvre du peintre italien Alfredo Cini (1877-1970), qui étudia à l'Académie des beaux-arts de Florence avant de s'installer à Sierre et de s'imposer comme un des meilleurs peintres de la montagne. Le chemin de croix est de Paul Monnier (1907-1982), célèbre peintre originaire de Grimentz, dans le val d'Anniviers.
Lorsque aucune voiture n'est parquée entre la fontaine et la ruelle, cette petite place sans nom se révèle charmante, avec sa fontaine, son banc et sa belle vue vue sur la colline et l'église.
Depuis la rue de Pont-Chalais, deux sentiers montent vers l'église Sainte-Thérèse de Lisieux et se rejoignent sur son esplanade. Le deuxième sentier, qui redescend vers le sud, permet aussi d'aller en contrebas de la colline et de remonter au vieux village en passant sous le pont.
Un peu plus haut, là où le sentier arrive à l'esplanade de l'église Sainte-Thérèse de Lisieux, il y a un joli point de vue sur le noyau historique du hameau, perché sur sa petite colline.
Nous sommes ici au bas du sentier qui descend de l'église vers la rue de Pont-Chalais, côté sud. Sur la gauche, le sentier continue de descendre jusqu'à une petite place en contrebas de l'église, où se rejoignent les rues qui contournent la colline de Noës par le sud.
Nous sommes ici en haut de la ruelle qui monte de la rue Michel à l'église Sainte-Thérèse de Lisieux. Elle est bordée de bâtiments qui font partie de l'ancien noyau villageois. L'entrée de l'église se trouve sur notre gauche et, sur la droite, en longeant le bâtiment et la petite forêt, on arrive au cimetière de Noës.
Même si de nos jours Noës est une banlieue tranquille de Sierre, il subsiste dans le vieux noyau villageois une atmosphère rappelant les temps anciens. Derrière nous, la ruelle rejoint la rue Michel, parallèle à la rue de Plantassage qui est en quelque sorte devenue la grand-rue du village.
La ruelle recèle quelques petites surprises. Une tête de singe ou de gargouille surgissant du mur aveugle d'un vieux bâtiment, une petite place avec une fontaine et un banc...
Nous sommes ici en haut du chemin qui monte à l'église depuis la rue de Pont-Chalais. Plus loin, le chemin se fait sentier pour redescendre vers la route et vers la petite place en contrebas du pont. En allant sur l'esplanade, le contraste entre le minuscule hameau et sa grande église se fait frappant.
Cette vue est prise depuis le bas de la colline, au sud. Noës est toujours entouré de vignes, comme jadis lorsque le hameau était le pied-à-terre de plaine des habitants du val d'Anniviers qui pratiquaient la transhumance entre alpages et vignobles.
Cette vue est prise depuis le sommet de la colline, à l'est de l'église. Elle porte sur le Haut-Valais, avec sur la droite la route de Sion et deux des bâtiments de la grande zone commerciale de Rossfeld, située non loin du village. Malgré cette proximité des centres commerciaux, Noës reste un village tranquille, épargné par le trafic automobile.
La vue est orientée ici vers l'ouest, avec sur la gauche les pentes noyées d'ombre du Mont Noble et sur la droite les vignobles ensoleillés de Chermignon. Le point de vue est un cul-de-sac cerné de propriétés privées, inutile de chercher à aller plus loin, nous allons rebrousser chemin pour rejoindre la rue du Vieux-Noës.
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