Ces recommandations sont sélectionnées sur la base de notre expérience ou des avis vérifiés d'autres voyageurs. Vous pouvez vous y fier!
A Ballenberg, votre promenade croisera parfois l'attelage d'un char à bancs sorti tout droit du passé. Si vous aussi vous souhaitez vous offrir une balade à l'ancienne, réservez-la aux caisses de l'entrée.
Nous arrivons à des bâtiments étranges qui se dressaient jadis dans le canton d'Argovie, avec leur toit de chaume caractéristique. Jusque tard dans le XIXe siècle, la paille produite dans les champs de céréales a servi de matériau de couverture et de matière première pour l’industrie du tressage.
Le bâtiment de gauche est une opulente maison paysanne de 1609 qui provient d'Oberentfelden. Un peu plus, vous apercevez la petite maison d'un journalier, bâtie en 1803, qui était autrefois à Leutwil.
Nous sommes devant l'entrée de la petite maison d'un paysan pauvre, qui devait également travailler comme journalier pour vivre. Elle fut construite en 1803 à Leutwil, près du lac de Hallwil. Plus loin, nous apercevons un autre type de maison argovienne et, à sa gauche, une maison paysanne du Jura bâlois.
La maison est du même type que la grande ferme paysanne d'à côté, en plus petit, avec des pièces exiguës et basses de plafond. Le propriétaire était un paysan pauvre qui entretenait vergers et plantations, et qui travaillait aussi comme journalier, aidant l’été à faire les foins et occupé l’hiver à des travaux forestiers. Cette pauvreté a fait que la maison n'a jamais été modernisée en quoi que ce soit et est d'une rare authenticité.
Cette maison d'habitation de style gothique tardif a été construite à Villnachern vers 1635, deux ans après un violent incendie qui détruisit une partie du village. Elle appartenait sans doute à un propriétaire aisé, ayant les moyens de se faire construire une telle maison, petite mais très soignée.
Dans plusieurs régions de Suisse les maisons paysannes au toit de chaume étaient courantes. Il n'en reste que très peu. Celle d'Oberentfelden est un témoin de ces grosses bâtisses concentrées aux toits en forme de tente qui existaient autrefois par milliers.
Ces maisons au toit de chaume étaient si répandues que, jusque dans les années 1850–1900, beaucoup de villages argoviens ressemblaient à des campings hérissés de tentes. Avec tout le confort rustique de l'époque bien sûr!
Jusque dans les années 1950, on éleva des cochons dans ce type de construction à poteaux dont l'auge était aussi garnie des déchets de cuisine. Les latrines étaient une simple cabane attenante à la porcherie, combinaison fréquente à l'époque. Cette porcherie vient de Brugg, petite ville restée assez rurale jusque dans les années 1950-1960.
Cette maison paysanne traditionnelle de Rapperswil (Berne), comprenant des dépendances rurales et une habitation, fut transformée en 1837 en une petite auberge. Transplantée à Ballenberg, elle abrite de nos jours un restaurant, l'«Alter Bären» (le vieil ours), qui a gardé le nom du café d'origine. Un peu plus loin à gauche, un chemin part vers la forêt et le Wyssensee.
Cette maison paysanne traditionnelle de Rapperswil (Berne), comprenant des dépendances rurales et une habitation, fut transformée en 1837 en une petite auberge. Transplantée à Ballenberg, elle abrite de nos jours un petit restaurant, l'«Alter Bären» (le vieil ours), qui a gardé le nom du café d'origine. Un peu plus loin à gauche, un chemin part vers la forêt et le Wyssensee.
Cette maison paysanne a été bâtie en 1675 à Therwil, en bordure du Jura. Alors qu'à l'époque la plupart des maisons étaient en bois et recouvertes de toits de chaume, le propriétaire s’est fait construire une maison en maçonnerie, crépie de blanc, aux encadrements de portes et de fenêtres en pierre finement travaillée.
En passant à l'arrière de la maison, nous remarquons le four à pain extérieur, accolé sur la partie habitable. La dépendance rurale, en pierre, bois et torchis, abritait étables, remise à chars et grange, un mode de construction qui permettait de vivre et de travailler sous un même toit.
Cette tuilerie a été construite en 1763 à Péry, au-dessus de Bienne, non loin d'une glaisière et d’une forêt, qui fournissaient les matières premières. A l'époque, le tuilier était secondé par 5 à 7 assistants. De nos jours, il est aidé dans son travail par les visiteurs de Ballenberg qui souhaitent s'initier à cet art.
Nous voici en face des bâtiments typiques du Plateau bernois et nous allons sauter directement vers des endroits où nous sommes déjà passés. A gauche, le chemin conduit au grenier à blé du XVIIe siècle, à droite il passe devant une maison de journalier du XVIIIe siècle et aboutit à la grande maison paysanne du XVIIIe siècle. Nous compléterons ces deux tracés une autre fois!
Cette grange-étable a été construite en 1702 à Faulensee et elle est représentative de ce type de bâtiment: une partie inférieure en moellons qui servait d'étable, avec à l’étage supérieur un fenil en madriers disjoints pour favoriser l’aération.
Dès le XVIe siècle, les paysans bernois se mirent à construire des greniers où faire mûrir plusieurs mois des fromages à pâte dure sous leurs soins constants. Celui-ci date de 1785 et était autrefois à Wasen, dans le Bas-Emmental. Revenez quelques mètres en arrière et passez sur le côté de la ferme pour voir sa façade, continuez le long du chemin pour aller vers la Suisse romande.
Cette maison d'un fabricant de bas, construite à Herzogenbuchsee en 1778, marque le début d'une nouvelle époque. Traditionnellement, agriculture, travail à domicile et tissage étaient réunis dans la ferme. Ici, habitation et ateliers se trouvent encore sous le même toit mais les activités agricoles sont exclues. Sur sa droite, vous voyez le «Stöckli» de la droguerie.
Ce type de bâtiment s'appelle un «Stöckli». Il a été construit vers 1820 à Köniz, sur le Plateau bernois. A l'époque, il servait de logement aux valets et aux domestiques. A Ballenberg, il est devenu une droguerie à l'ancienne.
Tout l'agencement et tous les outils d'une droguerie à l'ancienne sont réunis dans ce «Stöckli». Une vision venue d'un monde où la plupart des médicaments, poudres et onguents étaient fabriqués à partir des plantes d'un jardin aux simples attenant.
Cette maison paysanne a été construite à une date inconnue à Eggiwil, dans l'Emmental, le pays du célèbre fromage. Elle a été mentionnée pour la première fois dans un document de 1701. C'était une ferme isolée typique de la région, nichée à 890m d'altitude dans un paysage de collines et de forêts.
Vers 1800, le tissage du lin devint une source de revenu supplémentaire dans l'Emmental. L’atelier de tissage se trouvait à la cave et occupait toute la maisonnée. Au-dessus, l'habitation était en deux parties, avec une cuisine commune. Un côté était destiné à la génération des aînés, l’autre à celle des jeunes héritiers de la ferme.
Cette maison de riche paysan fut construite en 1797 à Ostermundigen (Berne), apparemment plus pour afficher le prestige du propriétaire que pour faciliter la vie quotidienne. Elle héberge une boutique où vous pouvez acheter de délicieux produits alimentaires locaux.
Nous apercevons au bas du chemin une maison paysanne de 1709 qui provient de Madiswil, en Haute-Argovie, au nord-est du Plateau bernois. Elle a la particularité d'être construite pour deux familles: habitations et étables sont en miroir de part et d’autre du faîte avec, au milieu, une partie commune (cuisine, grange et allée d'affouragement).
L'intérieur est très sombre, voici juste de quoi vous en faire une idée. Nous essayerons de capturer de meilleurs panoramas de cette grande ferme une autre fois! Ressortons pour aller admirer un superbe grenier à blé...
Ce magnifique grenier à blé se dresse juste à côté de la grande ferme de Madiswil. Il a été construit en 1685 pour conserver en lieu sûr les provisions d'une ferme de Kiesen, au sud du Plateau bernois.
Dans cette clairière sont présentées les activités liées au bois, à l’exploitation de la forêt et au feu. Le lieu a été baptisé Brandboden, que l'on pourrait traduire par «combe aux cendres» (ou plus littéralement «terrain de l'incendie»).
Dans la «Combe aux cendres» ont été reconstruits des fours à chaux et à poix, une aire de production de charbon de bois, ainsi que deux bâtiments destinés à abriter les artisans, en leur redonnant l’aspect qu’ils devaient avoir à leur emplacement d’origine, aux XVIIIe et XIXe siècles.
Dans cette «Combe aux cendres», on peut admirer l'art du tavillonneur, observer le procédé d’extraction de la résine et la production de chaux, assister à diverses activités liées à la forêt et au bois.
Nous regardons ici vers la maison paysanne de Therwil et, au loin, les maisons argoviennes. A gauche, nous voyons le chemin qui monte vers une superbe ferme du Jura neuchâtelois. Derrière nous, le chemin continue en direction du Plateau bernois.
Cette vue sur les habitations du canton d'Argovie fait partie du Grand Tour, une sélection de points de vue spectaculaires établie par Suisse Tourisme, l'office du tourisme national suisse.
En sortant de cette petite forêt, nous allons arriver dans le «Mittelland», le Plateau bernois, toute la partie centrale du canton, entre la chaîne du Jura au nord et les premiers sommets des Alpes au sud.
Des herbes magiques poussent dans ce jardin aux simples. Autrefois, la connaissance des vertus curatives des plantes médicinales faisait partie du quotidien.
Nous arrivons au «Brandboden», la Combe aux cendres, une clairière où nous pouvons découvrir de nombreuses activités liées à la forêt et au bois.
Construite en 1617 à La Recorne, dans les hauts de La Chaux-de-Fonds, cette ferme est typique de l'architecture du Jura: grands murs et petites fenêtres, avec pour seule fantaisie une porte en plein cintre et un encadrement gothique des fenêtres. Les hivers jurassiens sont rigoureux et chaque ouverture est un point faible.
Admirez encore la façade avant d'entrer. Observez les chéneaux en bois qui canalisent l'eau de pluie vers la citerne de 5000 litres que vous voyez à gauche, reconstruite telle qu'elle était au XVIIIe siècle. Une citerne était indispensable dans le Haut-Jura, avec un sol calcaire où l'eau s'infiltrait trop vite, ne créant que de maigres ruisseaux.
Habitants, bêtes, récoltes et réserves sont réunis sous le même toit. Nous sommes ici sous la grande cheminée, qui recueillait la fumée du foyer ouvert de la cuisine, du four à pain juste à côté et du poêle à l’opposé. Une configuration concentrée pour conserver la chaleur au plus froid de l'hiver.
Derrière la ferme, la seule grande ouverture est celle de la grange. Le reste est aussi massif que sur les autres côtés, toujours pour éviter les pertes de chaleur.
Cette petite construction se dressait sur un terrain pentu près de Prato, dans le Val Lavizzara (haut de la vallée de la Maggia). Dans les vallées du Tessin et du sud des Grisons, les châtaignes étaient la principale nourriture durant les longs mois d’hiver. Si elles se conservaient, c’était grâce à ces séchoirs construits de murs en pierres sèches.
Ces trois maisons mitoyennes proviennent du village de Cugnasco, tout près de Locarno. La plus ancienne, une simple maison-tour qui ne comprenait qu'une seule pièce par étage, a été construite vers 1740. On y accola vers 1770 une deuxième habitation indépendante puis, vers 1860, une maison double, aboutissant au petit complexe d'habitations que vous voyez.
La galerie avait de multiples utilisations: étendre le linge, stocker le bois, faire mûrir les fruits, sécher le seigle ou le maïs. A l'intérieur, il n'y avait pas de pièce de séjour. Une grande partie de la vie quotidienne se déroulait dans la cuisine habitable où, en hiver, les habitants se tenaient autour du feu pour se réchauffer.
La construction de ce bâtiment a commencé il y a 700 ans et s'est poursuivie jusqu'au XIXe siècle. En 2002-2003, il a fallu 200 camions pour déplacer cette ferme de Novazzano (Mendrisiotto) à Ballenberg. Comme tous les bâtiments du musée, il a été démonté pièce par pièce puis remonté à Ballenberg. Un travail titanesque!
Ce complexe de 44 mètres de long comprend 50 pièces et 1000 m2 de toiture. Ce type de ferme constituait la règle en Italie voisine, entre la plaine du Pô et les Préalpes. Elles étaient organisées comme des unités de production, avec champs, vignes et châtaigneraies, et gérées par des métayers pour le compte de riches propriétaires fonciers.
Dans la cour intérieure se trouve une «Osteria», une taverne tessinoise où vous pourrez vous restaurer ou prendre un rafraîchissement avant de continuer la balade.
A l'ouest de la cour intérieure (à gauche en passant l'entrée), une petite porte mène vers une jolie terrasse.
Ce petit espace extérieur sert de terrasse à l'Osteria et permet d'observer la ferme domaniale sous un autre angle de vue.
Le bois employé pour construire ce grenier à blé fut abattu en 1515. Il provient de Campo dans le Vallemaggia, où l’on trouve encore quelques-uns de ces greniers typiques du Tessin.
Cette forge construite en blocs de granit servait à entretenir les outils de la carrière de Bodio, près de Biasca, qui fut probablement exploitée pour créer des infrastructures ferroviaires lors du percement du tunnel du Gothard (1872-1882).
Avant de longer la petite vigne pour aller voir d'autres bâtiments tessinois, allez voir d'un peu plus près la triple maison de Cugnasco!
Vers la fin de la petite vigne, nous apercevons en contrebas un grenier à céréales du XVIe siècle devant lequel nous allons bientôt passer.
Attention: ici nous prenons le sentier qui descend vers le grenier à céréales du XVIe siècle et non celui qui part dans la forêt! (Il remonte vers la zone des bâtiments de Suisse romande et ne passe pas par le Tessin.)
Nous arrivons devant ce qui est apparemment une bergerie, désertée lors de notre passage. Des panneaux didactiques décrivent les différentes races de moutons que l'on élève en Suisse. Le sentier fait un virage en épingle à cheveux et continue de descendre...
Le sentier continue de descendre en pente douce dans un paysage spectaculaire, nous espérons que vous profitez bien de la balade.
De part et d'autre du chemin, nous apercevons une habitation du XVIe siècle et une grange-étable du XIXe siècle. Sur la pente au-dessus du chemin nous voyons des séchoirs à céréales de la Léventine, reconstruits sur la base de photos historiques car il n'en subsiste aucun.
Derrière nous, nous voyons une habitation de Malvaglia/Serravale construite en 1515 et surélevée d'un étage en 1564. Au bord du sentier, les restes d'une maison paysanne de Primadengo/Faido de 1683, détruite par un incendie en 1994 à Ballenberg, ont été conservés pour rappeler les fréquents incendies de jadis. Plus loin, nous voyons une grange-étable construite vers 1850 à Pollegio et, dans le lointain, une ferme domaniale qui constitue le clou de la visite.
En 2020, Ballenberg a consacré sa exposition temporaire à l’animal de ferme le plus célèbre, la vache. Nous passons ici devant son entrée, à l'arrière de la grande maison paysanne d'Ostermundigen (qui abrite une boutique de l'autre côté), en descendant le chemin qui mène vers d'autres bâtiments du Plateau bernois.
Ce chemin en bordure de forêt monte vers des bâtiments du Plateau bernois que nous n'avons pas encore vus, puis vers une zone consacrée à la Suisse romande.
Nous apercevons au loin la belle maison paysanne bâloise dans un bucolique paysage de pâturages et de montagnes.
Ballenberg est un lieu vivant et non un musée figé. Les vaches sont authentiques et regardent placidement les visiteurs passer.
Il y a à Ballenberg de nombreux endroits aménagés pour pique-niquer et même faire des grillades. Vous en voyez un ici sur la gauche, à l'orée d'une petite forêt.
Nous approchons d'une maison paysanne du XVIIe siècle avec, à sa droite, un grenier à fromage du XVIIIe siècle.
Sur cette vue d'ensemble nous voyons à gauche une maison paysanne fribourgeoise des XVIIe-XVIIIe siècles et à droite une grange-étable bernoise du XVIIIe siècle devant laquelle nous allons bientôt passer.
Nous continuons vers l'ouest en direction des bâtiments du Plateau bernois. Derrière nous, le chemin qui part vers l'est permet de rejoindre les zones consacrées au nord-est et au centre de la Suisse.
Avant de prendre le chemin très raide qui grimpe vers les constructions de Suisse romande, nous allons visiter le plus grand bâtiment de Ballenberg: la ferme domaniale de Novazzano.
Le sentier vers la Suisse romande passe derrière la grande ferme domaniale de Novazzano avant de plonger dans la forêt. Il est raide mais ne présente aucune difficulté.
Encore quelques mètres dans la forêt et nous arriverons dans la zone consacrée à la Suisse romande.
Comme partout à Ballenberg, le paysage est bucolique et s'y promener est un plaisir.
Le sentier bucolique descend vers la région tessinoise en traversant une petite forêt.
Ce chemin traverse la forêt en longeant le Wyssensee pour aboutir à la «Combe aux cendres» où vous verrez des fours à chaux et à charbon de bois d'autrefois.
Nous montons en direction de la petite partie de Ballenberg qui est consacrée aux habitations jurassiennes. Il ne s'agit ici pas du canton du Jura proprement dit, mais de la chaîne de montagnes qui s'étend du nord du canton de Vaud jusqu'à Bâle.
Quelques mètres de forêt et nous arriverons à la clairière jurassienne...
Ce grenier à blé construit vers 1500-1530 provient d’Ecoteaux, au-dessus de Vevey. A l'époque, le Pays de Vaud était encore une possession de la Savoie et ce grenier est un mélange de styles: la serrure rappelle la Savoie, le toit très incliné et les poteaux corniers ornés de disques sculptés ressemblent aux greniers en bois gothiques de Fribourg et de Berne.
Nous allons arriver à la grande ferme paysanne d'Ostermundigen et sa boutique de produits du terroir, en longeant un beau jardin potager. La petite construction que nous voyons est une remise autrefois destinée à la pompe à incendie de Mühledorf, construite en 1834.
Un étroit sentier descend vers la partie de Ballenberg qui est consacrée au Tessin, le canton italophone situé au sud des Alpes. Au fond de la vallée court l'Aar, la longue rivière descendue des Alpes pour se jeter dans le lac de Brienz et poursuivre sa route jusqu'au Rhin.
C'était la maison familiale d'un fabricant de textile de Burgdorf (Berne). On y menait grand train, avec des domestiques. Le style de la villa, inspiré de l'architecture rurale, était très à la mode à l'époque.
En entrant à Ballenberg par l'entrée ouest (côté Hofstetten et Brienz), vous verrez d'abord, sur la gauche, une écurie de 1861 (Luchsingen, Glaris) et, à droite, une villa d'industriel de 1872 (Burgdorf, Berne).
Nous avons malheureusement manqué de temps pour capturer des panoramas dans la zone consacrée à la Suisse romande, sur les chemins qui partent ici à gauche et à droite. Nous compléterons la balade un jour ou l'autre, lorsque nous retournerons à Ballenberg!
Couvert de végétation, le lac ressemble à une clairière au cœur de la forêt. Au bord du chemin, quelques bancs invitent à faire une petite pause avant de continuer la balade.
Ne vous attendez pas à une jolie balade au bord du lac, le Wyssensee est niché dans une belle forêt et reste invisible sur la plus grande partie du chemin.
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Le Guide Visuel des Cyclades

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